Beaucroissant

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Beaucroissant
Beaucroissant
Parking à l'entrée du village durant la foire de 2007.
Blason de Beaucroissant
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes de Bièvre Est
Maire
Mandat
Antoine Reboul
2020-2026
Code postal 38140
Code commune 38030
Démographie
Gentilé Manants / Manantes
Population
municipale
1 896 hab. (2021 en augmentation de 16,96 % par rapport à 2015)
Densité 169 hab./km2
Population
agglomération
63 320 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 29″ nord, 5° 28′ 15″ est
Altitude Min. 332 m
Max. 753 m
Superficie 11,22 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Voiron
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tullins
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Beaucroissant
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Beaucroissant
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Beaucroissant
Liens
Site web www.beaucroissant.com

Beaucroissant est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Paroisse de la province royale du Dauphiné durant l'Ancien Régime, la commune se positionne dans la partie septentrionale du département de l'Isère entre les agglomérations lyonnaise et grenobloise. Elle est en outre située dans la communauté de communes de Bièvre Est dont le siège est fixé à Colombe une commune limitrophe de Beaucroissant.

La commune est connue pour la foire de Beaucroissant d'importance régionale qui s'y déroule annuellement depuis le Moyen Âge.

Ses habitants sont appelés les Manants et Manantes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Plan de la commune et des communes limitrophes.

Situation et description[modifier | modifier le code]

La commune de Beaucroissant se situe dans la partie septentrionale du département de l'Isère, au sud de la commune du Grand-Lemps, dans la partie orientale de la plaine de Bièvre, à proximité du plateau des Terres froides et à l'extrémité nord-est du plateau de Chambaran.

Le centre-ville (mairie de Beaucroissant) se situe (à vol d'oiseau) à 79 km du centre de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et à 37 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, ainsi qu'à 293 km de Marseille et 549 km de Paris.

Géologie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Beaucroissant
Colombe Rives
Izeaux Beaucroissant Renage
Saint-Paul-d'Izeaux Tullins

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 120 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune n'héberge aucun cours d'eau notable mais abrite quelques petits étangs, tous situés au pied du plateau de Chambaran.

Voie de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

L'ancienne route nationale 85 ou « RN 85 » est une ancienne route nationale française reliant autrefois Bourgoin-Jallieu, en se détachant de la RN 6, pour se terminer sur la Côte d'Azur, d'abord à Cagnes-sur-Mer, puis à Golfe-Juan. En 2006, la route nationale 85 a été déclassée dans le département de l’Isère en « RD 1085 ». Cette route traverse le territoire de Beaucroissant depuis l'est, limite de la commune de Rives et vers le nord ouest (commune d'Izeaux) sous la dénomination de route nationale.

Transport public[modifier | modifier le code]

Entrée de Beaucroissant par la RD519a.
Site de la Foire de Beaucroissant depuis le TER Grenoble-Lyon en juillet 2019.

Voies ferrées[modifier | modifier le code]

La gare ferroviaire de Beaucroissant est désaffectée depuis de nombreuses années mais un arrêt du train est mis en place lors de la foire de septembre[8]. Cette ligne permet de relier les villes de Bourgoin-Jallieu, Voiron et Grenoble.

Transport routier[modifier | modifier le code]

La compagnie Transisère, gérée par département de l'Isère, propose des lignes de transport en autocar :

  • Ligne 7350 / La Côte-Saint-André - Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - Voiron ;
  • Ligne 7300 / Beaurepaire - Moirans - Grenoble ;
  • Ligne 2900 / Vienne - La Côte-Saint-André - Grenoble.

Il existe également une ligne de bus local :

  • Ligne RIV03 / Izeaux - Beaucroissant - Rives Collège.

Liaisons aériennes[modifier | modifier le code]

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Grenoble-Isère, situé à moins d'une dizaine de kilomètres du centre de Beaucroissant. La ligne d'autocar 7350 permet de relier cet aéroport avec la commune notamment durant les périodes de foire (arrêt Champ de foire)[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Beaucroissant est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Voiron, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[13] et 63 320 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,9 %), forêts (25,7 %), zones agricoles hétérogènes (25,1 %), zones urbanisées (6,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %), prairies (1,6 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Logements[modifier | modifier le code]

Hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Beaucroissant, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[19].

  • Bois de la Blache
  • Bois des Michones
  • la Piot
  • la Maladière
  • la Tuilerie
  • Pont de Champ
  • la Croze
  • le Comptant
  • Galaboutemps
  • le Mollard
  • la Fontaine
  • les Granges
  • Saint-Georges
  • la Billardière
  • les Martinières
  • le Clos
  • Blétonnay
  • Mollard Cheval
  • la Combe Noire
  • Notre-Dame des Croix
  • Parménie / Col de Parménie

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

La totalité du territoire de la commune de Beaucroissant est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées à l'ouest de son territoire, mais non loin de la zone n°4, située vers l'est et le sud-est (notamment les territoires de Tullins et de Vourey)[20].

Terminologie des zones sismiques[21]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Selon l'historien Pierre Miquel, le nom de Beaucroissant pourrait évoquer la fertilité du sol qui facilite la croissance du grain[22].

Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère qui évoque également cette hypothèse précise que la racine « Bel » (évoluant en « beau ») pourrait également évoquer une hauteur, le village étant située légèrement en hauteur, au pied de la colline de Parménie[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune est célèbre pour sa foire annuelle existant depuis 1219, due au pèlerinage de Notre-Dame de Parménie[24]. L’histoire du village et de la foire de Beaucroissant est liée avec la colline de Parménie qui la domine de ses 749 mètres d’altitude.

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Durant l'Antiquité, la région est peuplée par les Allobroges, un peuple gaulois dont le territoire était situé entre l'Isère, le Rhône et les Alpes du Nord. À partir de -121, ce territoire, nommé Allobrogie, est intégré dans la province romaine du Viennois, avec pour capitale la cité de Vienne qui deviendra aussi le siège de l’ancien diocèse romain de Vienne. Ainsi, et jusqu'au Haut Moyen Âge, le territoire communal fait partie du Viennois.

Le site de Parménie est occupé dès l'Antiquité, comme l'atteste la présence d'une ancienne citerne gallo-romaine.

Moyen Âge et Temps moderne[modifier | modifier le code]

La foire de Beaucroissant, tableau de Théodore Ravanat collection du Musée dauphinois.

L’origine de la foire de Beaucroissant remonte à 1219, la nuit du 14 septembre, le lac naturel de Saint Laurent, (au-dessus du Bourg-d'Oisans) se rompt, cause une terrible inondation qui inonde Grenoble et fait de très nombreuses victimes.

À partir du , sous la conduite de l’évêque de Grenoble, les survivants commémorent cet événement par un pèlerinage à Parménie. Ce rassemblement induit des échanges entre les pèlerins, et attire une foule de marchands.

Pour leur fournir le gite, de l'espace pour les bestiaux et les marchandises, le seigneur local, Guy de Tullins, décide de fonder une ville dans la plaine. En 1312, il fait savoir qu'il accorde, à tous les habitants qui s'établiront près du château qu'il va construire in molario de Prulo, l'exemption de la plupart des droits, charges et taxes en usage. « Il fournira à chaque habitant une maison et un verger » pour un loyer modique. « Il fera clore la nouvelle ville de fossés, portes et remparts. (...) Le nom de la nouvelle ville sera Beaucroissant »[25]. La foire prendra alors son nom.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Le site de la chartreuse de Parménie est occupé par le maquis, puis sera brûlé en 1944 par l'armée allemande.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Beaucroissant

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Depuis les élections de 2020, le conseil municipal de Beaucroissant est composé de dix neuf membres dont un maire, quatre adjoints, et quatorze conseillers municipaux[26].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2008 Mars 2014 Pierre Fouque Retraité
Mars 2014 2020 Georges Civet SE Retraité
2020 En cours Antoine Reboul Retraité

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 1 896 habitants[Note 3], en augmentation de 16,96 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
627721725836816405925926926
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
868869867831875888889848832
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
836834763710720739653653705
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
7527251 0031 0521 1951 2471 3721 4081 546
2018 2021 - - - - - - -
1 7131 896-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Situé dans la zone académique de Grenoble, la commune de Beaucroissant compte une école maternelle et élémentaire dont le bâtiment est situé près de la mairie[31]. Elle regroupe 7 classes, dont la plupart sont doubles niveaux, de la Petite section au CM2.

Activités culturelles et sportives[modifier | modifier le code]

Les associations sportives[modifier | modifier le code]

L'association sportive du basket club Beaucroissant-Izeaux-Renage, L'ASBBIR[32], est comme son nom l'indique un club de basket-ball regroupant les communes voisines à Beaucroissant: Izeaux et Renage. Le club compte des équipes de tout âge allant des U7 aux séniors. L'association est coprésidée par Nadege Forest et Stéphane Brignone.

Le tennis club Beaucroissant-Izeaux, le TCBI[33], fait également partie des associations sportives présentes dans le village. Une entente a été créée avec le village voisin, Izeaux. Tout le monde peut avoir accès à ce club quel que soit le niveau et l'age. L'association est présidée par Bertrand Menuel.

Le Beaucroissant Foot-ball club, BFC[34], est un club de football dirigé par Jeremy Guegan.

Les associations culturelles[modifier | modifier le code]

L'atelier de la Grange de Beaucroissant[35] est, comme son nom l'indique un atelier dans lequel Chloé Vandenberghe initie les enfants comme les adultes à la peinture, au dessin, et aux mangas. Des cours hebdomadaires, des animations et des expositions sont également proposés.

Une association de scrapbooking portant le nom de Scrap & Volutes[36] appartient aussi aux associations culturelles présentes dans les villages. On y met en place des ateliers de création pour adultes et enfants, la découverte du scrapbooking avec la mise à disposition de projets d'ateliers.

Médias[modifier | modifier le code]

Le quotidien régional Le Dauphiné libéré, dans son édition locale Chartreuse et Sud-Grésivaudan, ainsi que l’hebdomadaire Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné, relatent les informations locales au niveau de la commune, du canton et de la communauté de communes. De nombreux articles y sont publiés à l'occasion du déroulement de la foire.

La commune est en outre située dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Alpes (France 3 Grenoble) et de téléGrenoble Isère, ainsi que de la radio locale France Bleu Isère.

La municipalité dispose également de son propre bulletin d'informations, Le Manant[37]. Ce bulletin est distribué aux habitants et relate toutes les informations actuelles de la commune. On y retrouve diverses informations allant des projets pour la commune, à l'économie mais on retrouve aussi les événements des associations du village.

Cultes[modifier | modifier le code]

La communauté catholique et l'église de Beaucroissant (propriété de la commune) dépendent de la paroisse de La Sainte-Croix qui comprend quatre autres clochers. Cette paroisse est elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[38].

Économie[modifier | modifier le code]

Foire de Beaucroissant depuis le train en septembre 2019

Organisée deux fois par an (au printemps et en automne), la foire locale est la principale activité économique de cette petite commune qui ne possède pas de zone commerciale ou artisanale notable.

Cette foire est accessible en voiture (du fait de la présence de nombreux parkings) mais aussi par les transports en commun dont le train (la gare offre la particularité d'être située au cœur de l'espace d'exposition)

Beaucroissant est une des communes d'un secteur de vignobles pouvant revendiquer le label IGP « Coteaux-du-grésivaudan », comme la plupart des communes de la vallée de l'Isère.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Notre-Dame de Parménie (illustration de la fin du XIXe siècle)

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Nom des habitants indiqué par la Communauté de communes de Bièvre Est, « Beaucroissant », sur cc-bievre-est.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Beaucroissant et Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. site officiel TER SNCF, page sur la 799e foire
  9. Fiche horaire de la ligne 7350 de transisère
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Voiron », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Site géoportail, page des cartes IGN
  20. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  21. [1]
  22. Pierre Miquel, Petite Histoire des noms de lieux, villages et villes de France, Albin Michel, (lire en ligne).
  23. Livre "L'origine du nom des communes du département de l'Isère" par André Planck, (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, pages 34 et 35
  24. Site officiel de la foire
  25. Ulysse Chevalier, Regeste dauphinois, t. IV, (lire en ligne), chap. 18205, p. 77-78.
  26. « Conseil municipal - Commune de Beaucroissant », sur beaucroissant.com (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Site education.gouv.fr, page sur l'école de Beaucroissant, consulté le 19 juillet 2019
  32. « ASBBIR - AS Basket Beaucroissant-Izeaux-Renage », sur ASBBIR (consulté le ).
  33. « TCBI – Tennis Club Beaucroissant Izeaux » (consulté le ).
  34. « Fédération Française de Football », sur fff.fr (consulté le ).
  35. « Atelier de la Grange de Beaucroissant », sur Isère Tourisme, (consulté le ).
  36. Magali, « Scrap & Volutes », sur Scrap & Volutes (consulté le ).
  37. « Bulletin d'information - Commune de Beaucroissant », sur beaucroissant.com (consulté le ).
  38. Site du diocèse de Grenoble, fiche de présentation de la paroisse de la Sainte-Croix, consulté le 14 juillet 2019
  39. a et b Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, (ISBN 2-911148-66-5), pp. 162-165.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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